Andorre

Andorre

ANDORRE

Europe

Vaccination

Aucune consigne de vaccination particulière n’est éxigée.

Présentation

La Principauté d’Andorre ne fait pas partie de l’espace Schengen : l’entrée sur son territoire est subordonnée au passage d’un poste-frontière. Qu’ils soient majeurs ou mineurs, les voyageurs doivent être impérativement munis d’un passeport ou d’une carte nationale d’identité en cours de validité.

Court séjour

Les ressortissants français voyageant avec une carte nationale d’identité ou un passeport individuel français en cours de validité suffisante pour le séjour sont dispensés de visa pour un séjour touristique ne dépassant pas 90 jours.
Les cartes nationales d’identité délivrées à des majeurs entre le 1er janvier 2004 et le 31 décembre 2013 seront encore valables 5 ans après la date de fin de validité indiquée au verso, mais aucune modification matérielle de la carte plastifiée n’en attestera.
En conséquence, de façon à éviter tout désagrément pendant votre voyage, il vous est fortement recommandé de privilégier l’utilisation d’un passeport valide à celle d’une CNI portant une date de fin de validité dépassée, même si elle est considérée par les autorités françaises comme étant toujours en cours de validité.
Si vous voyagez uniquement avec votre carte nationale d’identité, vous pouvez télécharger et imprimer une notice multilingue expliquant ces nouvelles règles à l’adresse suivante :
https://media.interieur.gouv.fr/interieur/cni-15ans/document-a-telecharger-andorre.pdf

Visa d’affaires

Aucun visa n’est nécessaire pour l’entrée sur le territoire andorran de l’ensemble des ressortissant-e-s des pays de l’Union Européenne. Les hommes et femmes d’affaires qui souhaitent se rendre en Andorre doivent être muni-e-s d’une carte d’identité ou d’un passeport en cours de validité.

Santé

Il existe une convention entre l’Andorre et la France, en ce qui concerne les frais d’hospitalisation à régler sur place. Se munir de la « carte européenne d’assurance maladie », délivrée par les caisses de sécurité sociale.
Dans les cas d’extrême gravité, une évacuation par ambulance ou hélicoptère médicalisé, vers un hôpital en France (à Toulouse par exemple) est parfois à envisager.
Selon les motifs du séjour, il paraît judicieux d’opter éventuellement pour une assurance de rapatriement sanitaire qui prévoit cette possibilité.